Pierre Guyotat's "Éden, Éden, Éden" begins with an obscure Tamacheck epigram that says "And now, we are no longer slaves". I've integrated it into my video where it emerges amidst mutating visual shapes. At first, it blends in with the visual background, but the more the visual mutations become noisy and incomprehensible, the more this epigram reveals itself to our visual perception. Nonetheless, its inscription remains an opaque language.

In this project, I continue to explore how the iterative adjustment of prompts can lead the artist to embrace an irrational use of language. Here natural language is coupled with algorithmic processes that bypass the assumed structural coupling between what natural language allows us to write and what we mentally visualizes.

This project was made with the Automatic1111 interface with the StableDiffusion model.

L'œuvre "Éden, Éden, Éden" de Pierre Guyotat débute par une obscure épigramme tamacheck qui dit "Et maintenant, nous ne sommes plus des esclaves". Je l'ai intégrée dans ma vidéo où elle émerge au milieu de formes visuelles en mutation. Au début, elle se fond dans l'arrière-plan visuel, mais plus les mutations visuelles deviennent bruyantes et incompréhensibles, plus cette épigramme se révèle à notre perception visuelle. Néanmoins, son inscription relève toujours d'un langage opaque.

Dans ce projet, je continue à explorer comment l'ajustement itératif des prompts peut conduire l'artiste à adopter une utilisation irrationnelle du langage. Ici, le langage naturel s'enchevêtre avec des processus algorithmiques qui contournent le couplage structurel supposé entre ce que le langage naturel nous permet d'écrire et ce que nous visualisons mentalement.

Ce projet a été réalisé avec l'interface Automatic1111 et le modèle StableDiffusion.